Le phénomène français débarque dans New York City

Nombre de messages : 20 Age : 30 Date d'inscription : 22/10/2007

In New York City.

Rene Duprée : À travers ce repas, on peut retrouvé toutes les qualités françaises, tous les goûts venant de France. Enfin quelque chose qui n’est pas aussi gras que ces porcs d’Américains. Lorsqu’ils parlent, on croirait entendre des porcs qui se font engorgé, une langue de merde pour un peuple de merde. Le pays n’est pas mal de la merde aussi. Ils sous-estiment les français, critiquent la France, mais ce beau pays qu’est le notre est bien plus saint que ce kit de puants. Un peuple puant ne peut qu’être dirigé par un puant, ehhhh oui, les Américains n’ont pas de chance, vu le président. Enfin bref, on se plait bien dans cette salle qui respire la sueur française, n’est-ce pas fifi ?

Fifi aboie.

Rene Duprée : C’est bien ce que je pensais, un caniche digne de son maître, patriote avant tout. [ il prit une gorgée de vin ] mhmhmhmh… ce vin est divin ! Tiens, toi, viens voir. [ l’homme se déplace ] Joue moi un petit air français, si tu en connais un bien sur, avec ton accordéon… [ l’homme ne bouge pas ] qu’attends-tu ? Le déluge ? Ou bien tu attends que je te donne quelques sous ? Ha ha ha… non mais… ne me dit pas que c’est ce que t’attends ? DEGAGE !

Il caresse Fifi.

Rene Duprée : Nan mais c’est pas vrai, il faut tout payer dans ce pays de merde. Il est grand temps que je vienne en aide au pays et que je les convertisse à la sainteté française ! Je ne sais pas encore de quelle manière mais nous le ferons, es-tu d’accord avec moi Fifi ?

Fifi donne la patte.

Rene Duprée : c’est bien. Bon, va dont me chercher le journal que je consulte les grandes annonces. Alors, voyons : « Tim Johnson’s Burger a ouvert ses portes ! » Qu’est-ce qu’on s’en branle ! Ensuite…

Rene Duprée reste figé sur son journal et lit à Fifi l’annonce.

Rene Duprée : « Extrem Carnage Federation, dirigée par Paul Heyman et Vince Mc Mahon » L’idéal ! Demain nous irons nous présenté et nous irons cherché un homme à abattre. Aller viens Fifi, on s’en va.

Rene Duprée quitte la salle.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 24/10/2007

Soudain une musique nouvelle commence dans l’arène de la ECF. Le public se demande de qui il s’agit. Soudain arrive un homme mince, blanc avec un mohawk et un bandeau bleu sur la tête. Il a quelques tatous. Il ressemble fort à un punk new-yorkais. Le public, même en le voyant, ne sait pas plus qui il est. Il monte sur le ring et regarde pendant une minute le public tout autour de lui qui semble mort tellement il n’a pas de réaction face au lutteur.

Luke Hawx
Hey merde elle est où votre énergie putain ?! YO heureusement que je suis là devant vous pour remettre un peu les feux aux poudres, parce que là, c’est mal barré pour qu’on ai la chance de voir ce soir un bon show ! Mais pas d’inquiétude, je suis la personne qu’il fallait à cette fédération qui est déjà, à quelques semaines de son ouverture, en décrépitude. Après moins d’un mois, on voit déjà des assholes comme celui qui vient de passé, René Duprée : ça augure mal ! Je vais non seulement vous faire bouger, public, mais en plus de vais remettre les cadrans à l’heure avec ce genre de types aussi ridicules que leur pays qui sens la merde de chien qu’il y a sur leur trottoirs. Ouais, je vais faire tout ça dans cette fédération, et gagner donc, cela vient avec putain ! Mon nom ? Luke Hawx. Du Mississippi, et fier de mes origines ! Vous me connaissez pas ? J’en ai rien à foutre, maintenant vous aurez plus le choix de me connaître enfoiré ! Si ça vous plaît pas, j’en ai pas grand chose de plus à foutre ! Mais vous ne le regrettez pas lorsque vous me verrez en action. À commencer par ce pauvre type qui est sûrement un peu trop préoccupé par la réaction négative qu’aurait amener ses commentaires s’il avait eu le courage de venir en personne. Je me fiche de où tu te trouves Duprée en ce moment, mais que ça soit n’importe où, tu vas m’écouter pour une seconde. Prochain show, toi, René Duprée, pauvre type d’un pays de merde contre moi ! Et si ça te plaît pas, viens donc me le dire en face à face, comme un vrai homme !

Il crache par terre et attend que quelque chose se passe.